Pour tout savoir de l'actualité des Triatomic's...
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27 mars 2022 : baignade et galopade sur l’aquathlon de
Wasquehal voir les photos
Petite délégation en ce dimanche ensoleillé sur l’Aquathlon
de Wasquehal. 2 épreuves, pour 2 formats, sont au programme de l’après-midi.
Pierrette, fait sa grande rentrée sur les épreuves
triathlétiques ! 400m de natation suivis de 3000m de course à pied pour
franchir la ligne d’arrivée, voilà ce qui l’attend. Pas d’angoisse pour notre représentante
mais quelques questionnements que l’organisation et le corps arbitral lèveront
lors du briefing. Malgré tout, c’est un véritable plongeon vers l’inconnu. La
préparation du matériel, la découverte de la zone de transition, la prise de
connaissance des consignes de course, la confrontation avec les autres
concurrents : voici le package des compétiteurs !
Dans sa ligne d’eau,
les quelques adultes engagés sur ce format découverte. La stratégie de course
est simple : nager 400m non-stop, s’extraire du bassin, soigner la
transition puis partir à l’assaut du circuit course à pied le long du canal :
simple sur le papier, plus difficile en réalité. Pourtant Pierrette applique la
stratégie, avec courage et cette envie de bien faire. Les 400m de natation sont
couverts d’une traite en alternant crawl et brasse. Les longueurs s’enchainent.
Au terme de la distance, il est temps de réaliser la redoutée et redoutable ‘’sortie
de bassin’’. Bien que le rebord soit moins haut que dans le bac de
Montigny-en-Gohelle, après 400m soutenus, les bras sont moins fiables et
Pierrette en fait l’amère expérience 😊… mais la course continue… la transition est
une simple formalité, aucune difficulté pour Pierrette qui s’élance pour 2
boucles sur les berges du canal de Wasquehal. Les encouragements accompagnent
ses foulées et elle profite même d’une ovation générale au passage de l’arche d’arrivée,
qui vient clore une première épreuve rondement menée ! Bravo à notre
doyenne qui a su incarner d’une bien belle façon les valeurs du Triathlon Club
Montigny-en-Gohelle : persévérance, courage, engagement.
Sur le S (1000/5000), c’est au tour de Karine de se mesurer
aux poissons d’eau douce. Et quelle claque ! 1’12/100m pour la plus rapide
de sa ligne, ça donne le ton et le niveau requis pour sortir devant… De fait, inutile
de rêver et l’objectif se limitera à faire un point sur les capacités nautiques
en sortie d’hiver. Bilan : pas fameux ! L’eau, trop chaude (29°C) modifie
les sensations et les jambes, un peu entamées par la sortie cyclo du matin, ne
répondent pas bien. C’est poussif. Pourtant Ka, tourne les 750 premiers mètres sur
des bases de 1’42/100m… satisfaisant… mais épuisant… le coup de massue ne tarde
pas à assommer notre athlète qui subit les 250 derniers mètres et finit par
exploser... dommage ! Non seulement ça manque de résistance mais en plus
le mental vacille au fur et à mesure que la piscine se vide…La course est déjà
bien lancée et le retard cumulé ne sera jamais rattrapé sur la partie running,
qui reste le véritable point faible. Côté transition ça passe. La suite ?
5km pénibles. Collée, scotchée, embourbée : Ka n’avance pas et souffre
toujours autant des tendons… il faut se résigner, le holdup ce ne sera pas pour
aujourd’hui. Malgré ce mauvais résultat, l’humeur est au beau fixe car les
axes de progrès bien, mais alors VRAIMENT bien identifiés…
Bonne récup à toutes les deux, ainsi qu’à Gepeto, qui a
couvert l’évènement en multipliant les postes de shooting, une performance en
elle-même 😊 !!!
Parce que la semaine était juste magnifique, ce dimanche
matin, les Triatomic’s disponibles se sont retrouvés pour faire une petite virée
cyclo. Programme court avec une bosse (la côte de Givenchy qui débouche sur le
Monument Canadien) en privilégiant la vélocité.
Pour Jérôme et Gaël c’est la
sortie de reprise… Karine et Fabrice, qui ont borné ensemble ces derniers jours,
testeront leur capacité à enchaîner ! Enfin, Stéphane, le plus régulier
dans sa pratique mettra tout le monde à l’amende sur le premier tronçon
roulant.
La sortie cool et souple, comme bien souvent se transforme en bataille
de braquets !!! Impossible pour les Triatomic’s de ne pas
tenter de pulvériser les records de vitesse ou d’exploser le nombre de watt générés.
Bref, ca tourne et ca tourne fort. Les chats maigres s’éclatent dans les
bosses, les ‘’baroudeurs’’ plus lourds s’expriment sur les portions moins
accidentées. Chacun y trouve son compte et après 45kms, le petit groupe se sépare
pour vaquer à ses occupations dominicales.
Il fait beau, il fait chaud, impossible pour le collectif de
se résoudre à aller s’enfermer dans le gymnase Delaune pour finir la soirée.
Du
coup, la gente féminine décide de se donner rendez-vous vers 17h pour une sortie
souple le long du canal. Avec un peu plus de 40km au compteur, Pierrette dont c’est
le baptême routier 😊, Virginie qui inaugure son vélo route, Karine
qui teste les équipements de son vélo de voyage et Delphine qui fait découvrir
au reste de la troupe son environnement, la sortie s’est faite dans la joie et
la bonne humeur… jusqu’à la tombée du jour. Si le retour s’est fait sans
encombre, bien qu’à la frontale, l’aller fût plus périlleux avec quelques
passages délicats à négocier. De quoi conserver de bons souvenirs de cette
grande première entre filles !
A refaire !!!
20 mars 2022 : Belle délégation sur le Semi-marathon de
Lille voir les photos
Sur l’édition 2022 du semi-marathon de Lille, il y avait du
monde… et les Triatomic’s étaient représentés en nombre avec autant de coureurs
que de supporters ! Parité parfaitement respectée, côté coureurs il y avait
Manue, Gaël et Thomas et sur le bord de la route, venus à vélo pour prendre
quelques photos et encourager leurs partenaires d’entrainement : Karine,
Micka et Djé.
Malgré une température un peu fraîche, les sourires se sont
multipliés, ce dimanche, à Lille pour une édition 2022 marquée par le retour
d’un parcours dans le centre-ville. Mis à part la présence des Triatomic’s, nous
avons noté la présence de Kandie Kibiwott, 2ème meilleur performeur de tous les temps sur le semi-marathon. De fait, on pouvait espérer un chrono canon, pour
tous, sur cette épreuve qui empruntait de nouveau le boulevard Vauban et le
boulevard de la Liberté…
Si Manue avait suivi le programme de préparation, les
p’tits soucis de santé des jours précédents ne présageaient pas la forme des
grands jours. Heureusement, c’est au côté de Gaël que notre féminine bouclera
les 21,100km du circuit, satisfaite du sub 2h réalisé, compte tenu des
conditions du jour. Thomas, à quelques encablures de ses copains de club assurera
son rôle d’ange gardien auprès de son ami Hugo qui découvrait la distance. Un geste
tout ‘’mignon’’, à l’image de Thomas 😊 !
Sécuriser, shooter ou transpirer, chaque année les Triatomic’s
doivent choisir leur camp pour participer d’une façon ou d’une autre à la
course hors stade ‘’Courir à Montigny’’ !
Si pour certain il est d’usage d’enfiler le chasuble du
petit signaleur, pour d’autres c’est aussi l’occasion de montrer le maillot sur
la course du village…
... et en 2022, on retrouve :
* aux intersections : Djé, Gepeto, Ka, Thomas, Gaël, Ptit
Bout, Valérie, Stéphane, Manu, Micka et Jérôme.
* sur le 5kms, le trio infernal composé de Pierrette, Virginie et Delphine,
* sur le 10kms, Lamberto accompagné de son garçon.
Une belle mobilisation générale en ce dimanche matin
ensoleillé. Une fois n’est pas coutume, le rendez-vous est fixé à 8h15. Une
heure décente qui ravit autant les bénévoles que les sportifs du jour. Les
organisateurs ayant renoncé à maintenir le semi-marathon cette année, la
prestation d’encadrement et de sécurisation de la course s’est conclue vers
11h15, idéal pour profiter du brunch préparé et offert par le Président aux
adhérents disponibles pour partager un moment de convivialité.
Côté course, notre trio féminin a décidé de couvrir ensemble
les 5000m du parcours, profitant de cette première expérience de running sous
les couleurs du TRIATHLON CLUB Montigny-en-Gohelle, pour inscrire une nouvelle
ligne à leur palmarès triathlétique. L’ambiance est joviale et les sourires de sortie.
Un 5kms pourtant couru tambour battant pour Pierrette, qui, bénéficiant des
encouragements de ses 2 acolytes, bat son record perso sur la distance. Pour Virginie
l’exercice est vécu avec entrain et envie. Pour Delphine, l’exercice semble
aisé et la bonne humeur est de mise. Un excellent bilan général pour nos féminines
qui se sont vues récompensées d’une rose au franchissement de l’arche d’arrivée.
Sur le 10kms, place au spectacle. Lamberto, qui continue sa prépa marathon, a
missionné Valérie, son épouse, pour tenir la pancarte et orienter les
automobilistes afin de partager l’asphalte aux côté de son fils Floriano. S’en
suivra 2 tours de circuits à allure marathon… une allure qui permet à Lamberto
de discuter, d’interpeller, de chambrer … bref une allure qui permet à Lamberto
de faire du Lamberto… un vrai numéro😊. Il faut dire qu’entouré des siens et avec
le soutien des Triatomic’s, Lamberto se fait plaisir !
Et tout ça a été imprimé sur la pelloche… avec derrière les
objectifs Karine et Gepeto, fidèles au poste pour assurer la presta photo 😊
Bravo et merci à tous pour vos résultats et votre
mobilisation.
10 mars 2022 : Post entrainement, la convivialité au rendez-vous ! voir les photos
Parce que les occasions s’étaient raréfiées ces derniers temps, les moments de convivialité 2022 sont choyés au sein du collectif. En mars, c’est à Virginie que revient le privilège d’offrir pitance à ses coéquipiers d’entrainement qui ont particulièrement appréciés l’apéro dinatoire proposé à l’issue de la séance de natation. Il faut dire, que traditionnellement, les anniversaires font partis des instants choisis par les adhérents pour provoquer les regroupements, les échanges et entretenir la cohésion.
La sortie de l’hiver est souvent synonyme de reprise des
courses hors stade ; le chapitre des trails se referme pour laisser place à
celui de l’asphalte. Au programme du collectif : de la longue distance,
étape de préparation aux objectifs futurs (marathon, half IM). Un premier carré
de Triatomic’s va se confronter aux 21.1kms sur 2 circuits aux profils bien
différents. Djé et Lamberto seront parmi les 920 participants engagés sur le
circuit réputé rapide de ‘’Fleurbaix’’, quand Karine et Sophie, les frangines,
évolueront au cœur du vignoble bordelais sur le ''Bazas-Langon'', réputé accidenté.
Sur Fleurbaix, nos garçons devront réaliser deux boucles ; sur les terres
bordelaises, les filles courront en ligne droite de village à village.
Côté conditions météo, du nord au sud le ciel est au grand
beau, lumineux, un peu plus chaud en Gironde et un peu plus venteux dans les
hauts de France. Côté organisation : les deux épreuves se valent. Situation
covid oblige, le nombre de participants est en baisse et l’ambiance s’en
ressent forcément… tout comme la prestation offerte aux compétiteurs qui se
limite au strict minimum avec 1 seul point de ravitaillement en eau à
mi-parcours, l’autosuffisance étant prônée pour éviter tout risque de
contamination. Pas drôle… mais la résilience est de mise et c’est masque sur le
nez et pass-vaccinal en poche que tout le monde récupère son dossard avec un
certain plaisir.
La suite : 4 courses, 4 histoires, 4 résumés, 4
résultats… mais un même sourire 😊
Pour Djé, le plus jeune du quatuor, c’est le grand baptême
sur la distance. 1 belle prépa qui devrait être couronnée de succès. Si l’objectif
aujourd’hui reste la découverte et l’apprentissages des basiques pour
construire un palmarès triathlétique, dans un coin de la tête les 1h35 sont tapies
dans l’ombre… Alors sans s’affoler, notre néo-triatomic’s applique les
consignes et gère, comme un vieux brisquard, ses allures, garde un œil sur sa
dérive cardiaque, et compose avec le vent, délaissant le meneur d’allure ‘’1h40’’
inconstant et peu fiable. Les kilomètres et les minutes filent… tout se passe à
merveille sous le regard de Gepeto et Pierrette, ses parents, venus assurer la prestation
photo. Il compose avec son environnement, utilisant le phénomène d’aspiration
lorsque cela est possible, tentant de participer à une course de mouvements
avec ses adversaires du jour. Une bien jolie partition ; Djé répète ses
gammes et franchit la ligne en 1h35’25’’, explosant le record précédent sur
semi-marathon des Triatomic’s. Pour une première, il n’a pas fait semblant le
petit ! Bravo Djé, tu peux être fier de toi et rassuré sur la suite à
venir !
Pour Lamberto, l’aîné du week-end, Fleurbaix sera le semi de
préparation pour son épreuve printanière. Pas d’objectif de temps, mais un
travail à allure marathon, histoire de voir et de valider le tempo de course. A
ses côtés, un copain avec un objectif sub 2h, idéal pour Lamberto. Si les
premiers kilomètres sont courus en compagnie de son acolyte des horlogeux,
notre Triatomic’s prendra la poudre d’escampette en accompagnant une dame, elle
aussi avec un objectif sous la mythique barre horaire des 2h. En bon gentleman,
il n’aura pas le cœur de laisser sa rencontre du jour à la peine lorsque l’allure
diminuera et restera à ses côtés pour franchir la ligne et lui permettre d’atteindre
son objectif. Un ralentissement qui profitera à son copain, qui recollera au
duo peu avant l’arche d’arrivée. Pour le trio, objectifs remplis : chronos
validés !
Pour Finou, ce Bazas-Langon est une course difficile à
appréhender. 2ème essai sur ce profil exigeant, l’envie d’aller
chercher un chrono est bien évidemment grande, mais le contexte 2022 est aussi
bien différent de celui de 2020. Alors il va falloir faire abstraction de tout
ce qui a pu se passer AVANT pour rester focus sur le MAINTENANT. Une priorité :
bien faire, apprendre, comprendre et aller au bout de son effort avec une recherche
maximale de l’autonomie en course. Et tout commence aux aurores avec le
stationnement de la voiture à Langon suivi d’un rapatriement en bus jusqu’au
point de départ à Bazas, 20kms plus au sud. Récup du dossard, petit
échauffement, derniers réglages du CamelBack, et c’est parti, en compagnie d’Anne-Laure,
sa partenaire d’entraînement qui a des jambes de feu et qu’elle décide de
laisser filer pour rester dans ses zones de travail et assurer sur la durée. Sage
décision. Les 10 premiers kilomètres sont pénibles et ardus. Sur les 2kms qui
suivent, Fifi trouve son second souffle et relance la machine… avant de subir un
peu sur les passages exposés au vent et d’accuser le coup sur les derniers
hectomètres ! La ligne sera, comme il y a 2 ans, franchie avec Anne-Laure,
qui a fait demi-tour pour revenir aux devant de Fifi : tradition oblige 😊
avec la satisfaction d’avoir bouclé SON 1er semi-marathon en totale
autonomie avec moins d’une minute de différence par rapport à son 1er
fait d’arme ! Bravo Fifi !
Pour Ka, les ambitions sont toutes autres d’autant que les
tendons grincent. Ce semi, le Bazas-Langon s’apparente, sur sa 1ère moitié
à une course de côte et sur les 10 derniers kilomètres à un beau et long faux
plat descendant : pas de quoi se réjouir… et ce, même si le spa programmé
au-delà de la ligne d’arrivée est un véritable facteur de motivation. Etonnamment
les bosses sont bien négociées et l’allure conforme aux attentes. Le cœur est
léger, les pulses dans les clous. Tout va bien. Ce n’est pas rapide, mais pas
déconnant. Hélas, l’état de grâce ne dure pas. Malgré un profil plus roulant
et normalement à l’avantage des coureurs, pour Ka, passé le ravitaillement à
mi-course, c’est le début des ennuis. L’effet des anti-inflammatoires s’estompant,
difficile de poursuivre. Le corps dit stop. Il faut se résigner… Clignotant à
droite, la fin du parcours se transforme en footing de récup. Décevant et frustrant,
il n’y aura finalement pas eu de miracle malgré tous les soins apportés pour
soulager les tendons d’Achille en amont de l’échéance…
27 février 2022 : Mixité sur le R&B de la Citadelle
à Lille voir les photos
7h45, un dimanche matin, c’est
une heure de rendez-vous qui pique… et avec 2°C au thermomètre, ça pique (vraiment)
fort ! Mais le ciel dégagé, les timides rayons du soleil et les sourires réchauffent
les Triatomic’s en route pour la 1ère édition du Run&Bike de la
Citadelle. Le convoi, composé de Gepeto, Pierrette, Karine, Mickaël et Virginie
retrouvent au cœur de Lille, Djé, venu en voisin. Au programme de la matinée
12kms de relais fractionnés dans un environnement verdoyant, au milieu des
promeneurs, dans la cohue de plus de 80 équipages.
Virginie, qui inaugure son 1er
dossard sous les couleurs du TRIATHLON CLUB Montigny-en-Gohelle, découvre l’envers
du décor. Les petites angoisses d’avant course, les incertitudes et cette envie
irrépressible de bien faire. Pour l’accompagner sur ce parcours initiatique :
Mickaël. Un binôme de choix et de choc qui aura à cœur de partager cette
épreuve aux côtés de sa compagne de vie.
Pour immortaliser ces moments :
2 photographes! L’inépuisable Gepeto, qui shootera les 2 équipes engagées en
remontant le parcours à contre-courant et Pierrette qui assurera la prestation
aux abords de la zone de départ / arrivée.
La reconnaissance du parcours,
100% asphalté, promet une course rapide. Lors de l’échauffement, les duos révisent
leurs gammes : montées et descentes de vélo, passage à la selle et
transition. Quelques foulées plus tard, le briefing puis la scission des
équipes avec sous l’arche de départ : les runners (Djé et Micka) et 250m
plus loin, au-delà de la zone pavée : les bikeuses (Ka et Virginie).
Et puis, les runners sont
annoncés…Le départ a été donné ! Le calme ambiant est soudainement
interrompu par les cris, les appels, les mouvements de foule… la pagaille
tétanise un peu Virginie dont la mission consiste à rejoindre son binôme qui
débarque dans la zone de rencontre. Sauf que vu le capharnaüm et la densité de
run and biker, pas évident de se frayer un chemin avec son VTT en toute
sécurité. Petite suée… et puis quelques hectomètres plus loin, Micka est enfin
accessible, un peu amoché (suite à un impact avec un cintre), mais accessible ;
les relais vont pouvoir commencer.
A l’arrière, Djé et Ka bataillent
quelques peu, évitant de justesse plusieurs chutes de concurrents, de vélos, de
concurrents avec leurs vélos. Après 1km délicat à négocier, les choses rentrent
dans l’ordre et l’alternance peu commencer.
S’en suivra, 4 tours à VO²max,
durant lesquels la gente masculine assurera le gros du boulot, la gente féminine
tentant d’apporter sa contribution, à la hauteur de ses capacités. La matinée
et les 12kms sont bouclés à vive allure. Les fréquences cardiaques s’affolent,
la cadence des pas est à son max, le temps de contact au sol quasi inexistant
et la longueur de foulée plutôt sympa. Bref, ça cavale.
Après moins de 50’ d’effort, les
2 binômes représentant les Triatomic’s sont devant le buffet de fin de course.
Une belle épreuve et une vraie réussite pour la grande première de Virginie qui
décroche avec son partenaire un podium dans sa catégorie !!!
Bravo à tous les 4 et merci aux
supporters photographes pour les souvenirs.
13 février 2022 : Manue s'offre un tour de grand 8 au cœur des Flandres Voir les photos
Pour cette 41ème édition, l’organisation
propose un nouveau parcours ! Au départ du centre-ville, l’épreuve de
10kms emmène les participants à la découverte du patrimoine bailleulois et des
paysages vallonnés des monts de Flandres. Un circuit exigeant où les montagnes du
nord sont légion ! Et pour s’y frotter : Manue !
Même si le 13
février dernier Eunice et Franklin n’étaient pas de la partie, le vent soufflait…
mais favorablement, une fois n’est pas coutume, poussant les coureurs dans les
côtes : de quoi (re)donner le sourire à notre représentante. Hormis les 5
premiers kilomètres nécessaires pour digérer le p’tit déj gargantuesque offert
par son collègue, Manue a bien vécu sa course et s’est satisfaite des
sensations et du chrono un mois ½ seulement après sa reprise sportive.
Côté
ambiance, l’harmonie de Bailleul a mis le feu au départ, à l’arrivée et au
sommet d’une belle bosse : idéale pour motiver les valeureux sportifs dont
Manue, accompagnée de Séverine et Noël qui ont également pu compter sur le
soutien sans faille d’Anne, fan number one de notre triathlète, qui récidive
avec une pancarte à la main, à l’instar de l’accueil réservé à son amie sur le Ch’triMan
2021 ! 😊
Une belle épreuve, avec un temps
idéal pour se rassurer et constater que tout va bien ! Bravo Manue pour
cette jolie performance sur les terres flandriennes.
Samedi 22 janvier : Manue sur le Trail de la Glissoire voir
les photos
Quand on demande à Manue comment s’est passée sa dernière
épreuve chronométrée au cœur du Parc de La Glissoire à Avion voici ce qu’il en
ressort :
‘’ Alors… chouette parcours,
météo au top, sol moelleux, bonne ambiance avec les autres trailers.
Idéal pour refaire un trail, pour
moi qui souffre toujours quand j'en fait...
J'ai couru avec Séverineet Ludo,
Fred était blessé, mais il est venu nous encourager (ou récupérer sa bière ?). Virginieet Mickaaussi sont venus. Et ça fait du bien sur le parcours (je parle des
encouragements, pas de la bière...) !
On a eu rapidement des portions
avec petits bouchons mais c'est très bien pour récupérer, surtout quand on part
trop vite (emportée par la foule... comme le disait Edith )
Bref je me suis accrochée à une
fille (master aussi) avec beaucoup de difficultés, jusqu'à ce que je me rende
compte qu'elle était sur le 16km... Elle m'a bien encouragée, elle, elle
l'avait vu avant que j'étais sur le 8km (elle me l'a dit
d'ailleurs )
Au débriefing d'après course, au
bistrot du coin, devant une bière, on a bien ri en voyant nos vidéos de
course... on avait l'impression d'être à fond dans nos têtes mais en fait de
l'extérieur ça ne donne pas du tout la même impression
A refaire !’’
Et lorsque l’on regarde les
clichés, ou que l’on visionne les vidéos, prises par ses fidèles admirateurs,
il semblerait que l’expérience soit concluante et qu’elle n’ait laissé aucun
traumatisme ! Bravo Manue pour cette belle
performance et ton super classement.
Karine, non partante était auprès de Gepeto, Pierrette et Djé pour un dernier hommage à Anne D. partie trop tôt...
26 décembre 2021 : Bain de
boue et remise en selle sur le R&B de Gravelines voir les photos
C’est sur l’épreuve côtière que
le binôme Manue + Micka boucle le chapitre 2021 pour les Triatomic’s.
Pour rappel, Gravelines propose
un condensé de surfaces histoire de varier les plaisirs : sable, boue,
asphalte, sous-bois, herbe, de quoi rendre sympa la sortie dominicale pour
notre duo du jour et la concurrence, nombreuse, fidèle au rendez-vous ! Une
occasion pour beaucoup d’éliminer les excès de Noël tout en pratiquant le multi-enchaînement 😊
Si les participants ont eu la
chance d’évoluer au sec lors de l’épreuve, l’averse qui a précédé le départ a
permis d’assouplir le terrain et de proposer un parcours joueur, pour le plus
grand plaisir de nos 2 représentants ! Les 700 premiers mètres ont été
avalés à vive allure par Micka, volontaire désigné d’office sur cette phase de
course ô combien stratégique. Malheureusement, les 3’20’’/km n’ont pas été
suffisant pour extraire l’équipe du pack. Micka qui boude les mets festifs, se
demande encore si le régime Huitre/foie gras n’est pas un booster naturel pour
ses concurrents directs 😊. La suite se passera donc au milieu du
trafic car après un tour, comme bien souvent, les places sont faites et il
devient alors difficile de slalomer entre toutes les formations engagées.
Malgré la densité de coureurs,
Micka et Manue progressent. Le pilotage est délicat mais la technique semble suffisante,
et nos vététistes, bien qu’étonnés de rester en selle, prennent de l’assurance
et beaucoup de plaisir sur le parcours. Le pas, lui, tantôt glissant, tantôt
plombé, selon le revêtement, corse l’exercice. Hormis un bain de boue pour Manue,
rien à signaler de particulier sur la partie running.
Côté entente et symbiose tout va
pour le mieux. L’observation est au centre du fonctionnement de nos 2 acolytes.
Ainsi, sans même un mot, les variations de teinte de leurs visages (du rouge au
violet en passant par le bleu 😊) suffit à déclencher le passage de relais !
Efficace !
Bref, une belle matinée de
partage, qui a permis à Manue de se remettre en selle après plusieurs semaines
OFF, en compagnie de Micka qui a déjà coché l’édition 2022 à son programme hivernal !
Week-end du 3 au 5 décembre 2021 : quand le menu des Triatomic's se compose d'une entrée, d'un plat et d'un dessert !!!
*** 3 décembre 2021 : Premier engagement officiel du Président sur la Rando Fluo ‘’Jeanne’’ avec un TOP 10 à la clé voir les photos
C’est à la lueur des frontales, que notre Président a participé à son tout premier évènement, en qualité de sportif sous les couleurs du TRIATHLON CLUB Montigny-en-Gohelle. Le choix s’est porté sur une randonnée nocturne à proximité du Parc des îles à Hénin-Beaumont. 7kms300 parcourus en moins d’1h20 et un Top 10 à l’arrivée, de quoi savourer la tartiflette et la bière de noël offerte aux 205 participants une fois la ligne franchie ! Si le dénivelé était raisonnable, la météo était fraiche et le terrain lourd, glissant et boueux. Ces conditions ont engendré quelques chutes parmi les marcheurs, mais Gepeto a pu se fier à ses appuis, tout comme Karine, également de la partie, qui en a profité pour repérer les 3/4 du parcours trail du lendemain ! Des zones herbeuses aux sous-bois en passant par les sentiers de schiste, le parcours a été apprécié et découvert autrement, le faisceau des lampes modifiant grandement la perception d’un environnement pourtant familier. Bref, une première expérience concluante pour celui, qui, pour une fois était de l’autre côté de la barrière ! Bravo Gepeto pour ta performance !
*** 4 décembre 2021 : Karine poursuit sa prépa sur le Trail nocturne de la Saint Nicolas et décroche une 2ème place dans sa catégorie voir les photos
Le Lendemain soir : try again… Même terrain de jeu (à quelques terrils près), même ambiance festive, même horaire, mais cette fois-ci, pour les Triatomic’s, seule Karine sera sur la ligne de départ avec un dossard placardé sur le ventre. Après une marche d’approche pour rejoindre la ‘’friche industrielle’’ de départ, c’est au cœur d’un beau site d’urbex que la centaine de traileurs engagés sur le petit format des évènements nocturnes de la Saint Nicolas patiente, en attendant le GO donné par le feu d’artifice. Après 5’ de spectacle pyrotechnique, départ explosif ! ^^ Les fusées sont parties devant, les moins rapides ferment la marche. La guerre de placement peut commencer. Pour Karine, départ prudent, à l’arrière du peloton, le temps de prendre ses marques et d’apprendre à poser les pieds en toute sécurité. Les premières aspérités du terrain étant absorbées sans encombre, place à la ‘’remontada’’… Et c’est avec une certaine décontraction que notre représentante va rechercher progressivement les autres concurrents afin de se replacer au scratch. Globalement, Karine fait une jolie course avec une belle gestion de son effort, son unique gamelle, n’ayant nullement impactée sa performance. Pour une fois, l’arche d’arrivée est franchie avec un grand sourire. C’est que cette nuit là, aucun dépassement à déplorer, aucune place perdue au fil des kilomètres : grosse satisfaction personnelle et un résultat à la hauteur de ses capacités. Pas foufou, mais encourageant, avec une deuxième place dans sa catégorie d’âge ! Pas le temps d'attendre la remise des récompenses, le retour se fera en petites foulées, pour éviter le coup de froid.
*** 5 décembre 2021 : Micka expérimente
le Triathlon S à l’arrageoise et grimpe sur le podium voir les
photos
Au petit matin, c’est au tour de
Mickaël de prendre part à une épreuve chronométrée. Il optera pour une activité
plus complète regroupant les 3 activités couvertes par le Triathlon :
nager / rouler / courir. Un format hybride organisé par le RCArras Triathlon
qui propose aux participants de nager 400m en piscine avant de sortir aux
abords du complexe sportif pour prendre part à un multi-enchainement composé de
3 blocs Vélo (6kms)/course à pied (2kms) avec un départ en CLM. Ni triathlon,
ni duathlon, ni R&B, le concept est original et a convaincu une cinquantaine
d’aventurier(e)s, pressé(e)s de se disputer la victoire.
Pour notre athlète, la
partie nautique doit encore être travaillée pour espérer jouer le classement
scratch. Avec un 17ème temps nautique, malgré un premier tour Vélo/cap fait
à bloc pour revenir sur la tête de course, les kilomètres suivant ne
permettront pas de reprendre tous les concurrents. D’autant qu’il promène sur
son porte bagage la première féminine, qui ne peut assurer ses relais… Gentleman,
il tente de lui apporter un maximum d’aide ce qui a pour conséquence de voir
revenir un concurrent direct qui lui aussi, fort de son expérience, se planque
dans les roues. Micka travaille seul en tête, dans le vent… Notre Triatomic’s,
qui a déjà fait beaucoup d’effort est un peu juste pour rivaliser avec cet
invité surprise sur la partie running et décide de le laisser s’épuiser un peu sur
le dernier tour cyclo… Mais visiblement rôdé à l’exercice, son adversaire coupe
son effort et c’est à vitesse réduite que le dernier tour est bouclé. Dans un
ultime sursaut, Micka tentera une attaque dans le faux plat montant. Peine perdue,
les jambes sont K.O. la ‘’pause’’ lui a été fatale et les 2kms qui le mèneront jusqu’à la ligne d’arrivée ne seront pas suffisant pour passer devant… Micka
finira sur la 2ème marche du podium de sa catégorie, battu par plus stratège
que lui lors de cette épreuve qu’il qualifiera de joueuse et ultra cardio !
14 novembre 2021 : Découverte du R&B sur la base nautique d'Armentières voir les photos
Jusqu’à la dernière minute, il n’était
pas certain que les Triatomic’s aligneraient une équipe sur le R&B d’Armentières…
Et puis, sous l’impulsion de Mickaël, Emmanuel s’est retrouvé avec un dossard
sur le ventre pour prendre part à son tout premier Run and Bike en ce dimanche
matin.
Les rudiments du passage de vélo
à la selle sont (re)vus le jour J. L’idée étant de procéder au switch avec autant
de fluidité que possible entre les 2 partenaires et amis de longue date. Le
niveau homogène du binôme et les qualités de chacun en tant que coureur risquent
d’affoler les chrono…
Nos garçons s’appliquent. Les relais
sont courts, la foulée engagée, la guerre de position fait rage. Quelques fusées
mixtes les passent. D’autres binômes sont au contraire rattrapés puis lâchés. A
l’issue du premier tour, où il a fallu jouer des coudes, tout semble rentrer
dans l’ordre. Le classement général ne bougera plus des masses. Mais pour
maintenir sa position, il faut composer avec les aspérités du terrain et les
différentes surfaces. Dévers, obstacles, sable, herbe, bitume, sous bois… l’organisation
a soigné le parcours en proposant un patchwork de tout ce qu’il est possible de
rencontrer sur ce type d’épreuve. Côté Triatomic’s, on déplorera 2 chutes,
sans gravité de Micka, qualifié de ‘’piètre pilote’’ par son pote Manu, pas avare
de douces moqueries…
Les 2 compères franchiront la
ligne côte à côte, avec une moyenne de 3’59/km, non pas sur 12kms comme annoncés,
mais sur près de 14kms : GPS garmin à l’appui ! Une sacrée performance pour
un binôme inexpérimenté et un baptême en grande pompe pour Manu qui n’a pas
ménagé ses efforts !
Bravo les mecs, une jolie
complicité récompensée sur la ligne d’arrivée ! La bière est amplement méritée !!! SANTE !!!
13 novembre 2021 : La raisin d’or en sauternais pour ouvrir la saison des trails nature voir les photos
Le plan initial c’était 10kms à
plat sur du bitume, sur les quais de la Garonne au cœur de Bordeaux… et puis ça
s’est transformé en 9kms trail au milieu des vignes sur les coteaux de Sauterne
dans l’enceinte du château de Filho. Faut savoir s’adapter ! Alors bon la
prépa n’est pas la même et pour ainsi dire y’a pas vraiment eu de prépa, du
coup, puisqu’il a fallu modifier les plans 15 jours à peine avant l’échéance.
Pour Fi, ça passe, à l’aise, ses
conditions d’entraînements habituelles étant finalement très proches du profil
de la Sémillon. Pour Ka, qui n’a pas vu les pentes d’un terril depuis plusieurs
mois c’était un peu différent et peu engageant surtout que les retours des gars
du coin c’était le côté boueux de l’épreuve… Au final, des single track et des
‘’allées’’ propres et sèches durant 6kms… et puis dame nature a voulu pimenter
la sortie avec une bonne averse qui a rendu le terrain plus difficile (mais
toujours praticable) sur la fin du parcours. Une ‘’drache’’ comme ont dit dans
le nord qui est tombé à point nommé pour rafraichir les idées de tous les
trailers du jour qui commençaient à ressentir les effets de l’enchainement des
bosses et des creux avec surchauffe des gambettes et l’emballement des pulses
cardiaques. Bien que le rendement soit moins prolifique avec les pieds qui se
dérobent davantage avec l’apparition des zones boueuses, pour le binôme
Triatomic’s du jour, la moyenne reste correcte. La gestion de l’effort est
optimale avec une jolie capacité de relance au sommet des vignobles. Une course
non subie et bien vécue par les deux représentantes du TRIATHLON CLUB Montigny-en-Gohelle
qui font une belle course d’équipe, Finou étant envoyé en éclaireur à 600m de
la ligne d’arrivée pour se dégourdir les jambes après 8400m en sous régime dans
le costume du lapin pour contenir les attaques de la concurrence et permettre à Ka de finir dans le sillage.
Une organisation sympathique dans
un environnement très particulier où le ravitaillement peut se cueillir tout au
long du chemin 😊 … sous réserve d’aimer le raisin et de
courir suffisamment vite pour éviter les tirs de carabines des
viticulteurs ! 😊 Une fois la ligne franchie, à l’instar des breuvages
houblonnés servis parfois sur les courses nordistes, 375ml de Sauterne attendaient
les finishers !
Bravo les frangines, le classement
est prometteur !
Septembre / Octobre 2021 : flash back sur la reprise des entraînements voir les photos
Les Triatomic's c'est avant tout un collectif qui se retrouve au sein d'une structure à dimension humaine et familiale pour partager quelques heures de souffrance sur terrains variés... Dans l'eau, autour d'une piste d'athlé ou bien encore dans l'enceinte d'un gymnase, tout est prétexte à s'entraîner. Innover pour ne pas s'ennuyer, essayer pour progresser, transpirer pour pouvoir trinquer (hé hé) : voilà la recette gagnante ! Le triathlon, c'est NAGER, ROULER, COURIR... mais pas seulement... c'est aussi PARTAGER, S'ENGAGER, SOURIRE !
Les Triatomic's sont motivés, leur assiduité en atteste ! Les séances de PPG font le plein tous les mardis soirs, la piste est prise d'assaut et les lignes d'eau sont le théâtre de belles batailles aquatiques. Seules les sorties cyclo, pas encore couvertes sur le plan médiatique souffrent d'un petit déficit de participation. Gageons que les adhérents vont y remédier ! ^^
17 octobre 2021 : Tourcoing ? Paris ? Format court ? Format long ? Les Triatomic's sur tous les fronts
Le Schneider Electric Marathon de Paris offre une occasion unique
de s’approprier la ville, en participant à une des courses les plus relevées
sur la distance mythique de 42,195 km. C’est d’ailleurs aujourd’hui l’un des
plus importants marathons du monde, caractérisé par l’importance de son peloton
comme par les performances réalisées. Mais cette année est un peu spéciale et
la jauge, réduite, n’accueillera que 35000 coureurs… et parmi eux, 2 Triatomic’s
tenteront l’aventure : Thomas et Lamberto.
Au programme de la journée, une traversée de Paris… Le départ,
depuis les Champs Elysées file droit vers l’Avenue Foch en passant par les bois
de Vincennes et de Boulogne, offrant un décor incomparable émaillé d’animations
toutes plus populaires les unes que les autres. Musique, danses, costumes et
badauds, sur le Marathon de Paris le spectacle est partout… tant sur la chaussée avec
le grand défilé des athlètes que sur les trottoirs !
Bref, le défi personnel se conjugue avec une excursion au cœur de
la capitale des francs conduisant les sportifs à battre le bitume sur les
artères et les places les plus prestigieuses de Panam : au pied de l’Arc de
triomphe, nos 2 représentants prendront le départ, respectivement à 10h et 11h20,
en descendant les Champs-Elysées, direction la place de la Concorde. La rue de Rivoli
les conduira ensuite à l'Opéra Garnier, puis la place de la Bastille, et après
un séjour « au vert » dans le bois de Vincennes, la difficulté du trajet retour
sera adoucie par les perspectives sur la cathédrale Notre-Dame, puis sur la
Tour Eiffel.
Séduisant parcours… et pour Thomas, qui découvrira la distance, c’était
probablement l’un des meilleurs choix à faire ! Lamberto n’en est pas à
son premier coup d'essai… le marathon de Paris sillonne son parcours de runner…
2 concurrents, 2 courses, 2 objectifs distincts mais une certaine
similitude dans les aléas de leurs préparations.
Pour Thomas, 3 ultimes semaines sans entraînement, les obligations
et projets professionnels ne lui ayant laissé aucun répit, n’auront pas permis
à ce dernier de capitaliser sur tout le travail exécuté en amont mais lui
permettra de vivre pleinement son marathon. Du plaisir du km 0 à la ligne d’arrivée,
aucun mur dressé sur sa route, aucune défaillance, aucune douleur : le
marathon parfait en termes de sensations. Une expérience 100% validée par Thomas
qui conserve de cette matinée que du positif. Certes le chrono est en deçà de
ses capacités intrinsèques mais finalement la satisfaction de Thomas, la fierté
et le sourire d’Hugo, son p’tit bonhomme, sont, et restent les seules choses
véritablement importantes ! Bilan au top pour ce baptême un peu particulier
qui ouvre la voie à de belles performances futures avec désormais une distance
qu’il conviendra d’apprivoiser 😊
Pour Lamberto : même combat mais une âpre bataille dans les
rues parisiennes ! Une épreuve vécue dans la douleur à partir du 30ème
kilomètre, les blessures d’antan commençant à se rappeler au ‘’bon’’ souvenir
de notre représentant et ce, malgré une mise au vert imposée par le corps médial…
le cuissot gauche n’a pas tenu ; s’en suit 12 km de souffrance. Physiquement
et mentalement il faut serrer les dents. Lamberto, bien que déçu, relativise.
La prépa n’a pas été à son terme, il n’aura finalement manqué que 12kms pour
que tout se déroule comme envisagé lors de l’inscription. Cette édition aura au
moins eu le mérite de forger le caractère déjà bien trempé de notre acolyte
qui, comme à son habitude, garde le sourire et sa bonne humeur. Certes le
résultat n’est pas à la hauteur de ses espérances, mais les aptitudes sont là… attendons
l’alignement des planètes 😊.
Un grand bravo à tous les deux, vous êtes finishers du SCHNEIDER
ELECTRIC MARATHON DE PARIS 2021 ! La situation n’était pas simple à gérer, avec
les multi reports, les préparations avortées, les ptits bobos et les
contraintes professionnelles. Mais vous avez tenus, sur la longueur, faisant
preuve d’une endurance mentale hors norme avec 2 ans d’attente avant de pouvoir
épingler ce dossard tant désiré !
Un grand merci à Pamela, Valérie et aux enfants (grands et petits) pour les reportages photos et le soutien moral assuré tout au long des 42.195km auprès de nos copains de club !
Tourcoing : juge de paix d’une année riche pour Jérôme qui ne
cesse de faire tomber ses RP…
Sur ce 10kms, l’objectif était de se rapprocher
des 40’… le test VMA permettait d’envisager d’aller titiller les 42’, mais le sub
40 n’était pas encore à porté de semelles… Qui plus est, Jérôme, qui a fait une
prépa aux petits oignons se sentait, lors de la phase d’optimisation, passablement
émoussé. Rien de plus normal… La surcompensation ne devait plus tarder…
Le
corps serait-il apte à encaisser ces 10 bornes ? et bien OUI !!! fin
du suspens ! 😊
Belle journée pour tenter un coup ! Il fait beau, la température est idéale et Jérôme est motivé : tous les ingrédients sont réunis pour une bonne dégustation. Le parcours
ne présente pas de difficulté majeure et dès le départ les jambes répondent
bien. La garmin ne ment pas : l’engagement de notre Triatomic’s est total.
L’effort perçu est jugé ‘’difficile’’ malgré d’excellentes sensations et de
super dispositions. TOUT s'est bien passé... RAS, pas de couac, NADA, QUEDAL, QUETCHI... TOUT est OK ! Et le chrono, on en parle ? Et ben il atteste de la performance réalisée aujourd’hui par notre unique représentant sur cette course hors stade!
Il manque encore quelques séances à VO²max pour passer sous la barre des 40’
mais la satisfaction est tout de même grande au franchissement de la ligne d’arrivée
avec un temps au-delà des espérances ! Jérôme a vécu une belle matinée sur
les boucles tourquennoises, les photos prises par Amandine sont révélatrices de
son bon état de forme !
Bravo Jérôme, 100% de réussite sur ce 10kms. Un résultat à la hauteur
de ton entraînement. Pour 2022, on vise le Sub 40 qui semble véritablement atteignable ! 😊
15 octobre 2021 : Trail Nocturne de Villeneuve d'Ascq Voir les photos
Courir
à la frontale, c’est un peu le kiff de Manue ! Alors pour baisser le
rideau 2021, notre partenaire d’entraînement participera au Trail automnal des
lacs, organisé par la MEL dans les allées du parc du héron en compagnie de ses
collègues de boulot ! Une soirée festive, sans pression, avec pour seule
ambition que de prendre du plaisir à redécouvrir le parc à la lueur des
loupiotes. 10kms qui débutent et qui se terminent au stadium de Villeneuve d’Ascq, de quoi plonger tout ce p'tit monde dans cette atmosphère si particulière des courses hors stade. Une ambiance familiale et bon enfant avec quelques animations au départ, de
quoi donner des ailes à Manue qui boucle cette ultime épreuve sportive de l’année
2021 sous la barre des 1h avec la satisfaction du devoir accompli ! Une
jolie performance qui permet de finir sur une note positive !
Retour
aux choses sérieuses après ta convalescence ! Les Triatomic’s poursuivent
leur entraînement pour essayer de t’égaler 😊. A bientôt Manue !
10 octobre 2021 : 3 lièvres, 2 supporters, 1 athlète déterminée, et tout ce petit monde s'est retrouvé à Marchiennes voir les photos + vidéo
C’était un dimanche à ne pas mettre
un triathlète dehors !
- Température extérieure : 4°C
- Visibilité : quasi nulle,
avec un brouillard à couper au couteau...
Pourtant, ça n’a pas découragé
Manue, qui s’est fait plaisir en prenant le départ du 10kms de Marchiennes en
compagnie de sa garde rapprochée : Fred, Ludo et son frère Laurent.
Sur le bas-côté, en qualité de
supporters, Manue a pu compter sur la présence de Karine et Mickaël qui se sont
arrangés pour que l’aller-retour jusqu’à Marchiennes corresponde à la sortie
cyclo dominicale. Un petit déplacement au cœur des nuages, aussi fun et
agréable qu’humide et passablement dangereux, qui a permis d’immortaliser la
participation de leur partenaire d’entraînement.
Sur l’édition 2021, qui a fait le
plein côté ‘’sportifs’’, Manue, seule hibiscus au milieu du bouquet de 1100 runners, a réalisé une belle performance, améliorant de plus de 5 minutes le
temps passé sur le circuit arrageois fin août 2021… Ne pas subir, profiter de l’ambiance
au fil des kilomètres, se caler dans le bon tempo pour viser le sub 60', et franchir l’arche d’arrivée
au terme d’un périple entre copains : c’était l’objectif du jour. Ce
dernier a été relevé, et haut la main…
C'est que ce jour là, malgré la fraicheur, les sensations étaient super bonnes. Et puis le dénivelé quasi inexistant du parcours a facilité la mise en rythme. Du coup, suivre le meneur d'allure des 1h n'a pas tenu longtemps; Manue et Ludo ont pris le large et sont partis à la poursuite de Fred et Laurent... Jusqu'à mi-course, bavardage et billevesées ont ponctué les hectomètres avant que le silence ne s'installe pour laisser la place au fracas des pas sur l'asphalte... Le négativ split était le leit motiv, le dernier kilomètre fut survolé et c'est avec une grande satisfaction que Manue a accueilli sa marque.
La suite ? Direction le bistrot du Grand Cerf pour débriefer et surtout se désaltérer... parce que pendant l'épreuve, le froid et l'humidité ambiante était incompatible avec une hydratation raisonnée. Du coup l'organisation, qui avait dû anticiper cet état de fait, a également offert aux finishers, une queue de charrue en plus du traditionnel tee-shirt.
Bravo Manue pour ton courage, ton sourire et ta force mentale!!!
"Ça y
est. Le stress qui monte à l'arrivée à Calella. Il n'y a que des machines de
guerre ici ☹☹. Ici l'eau est à 24°, limite pour la combinaison 😐. Pas de combinaison, de la pluie et du vent : le
tiercé gagnant ☹"
Jour J-1 via messenger :
"Un
petit coucou de Calella. Nautique en suspend pour le moment. Toutes les bouées
ont été retirées et la décision sera prise demain matin. À savoir si nautique
annulée ou maintenue en fonction du temps. En arrivant au parc à vélo mon
emplacement était occupé par un vélo avec une bâche dessus (le gars a tout
prévu) sauf que le gars doit être dyslexique car il a comme numéro 1864 et moi
1684. Je demande à l'organisation de bouger le vélo. En arrivant pour déposer
mes sacs de transition devinez qui a pris ma place ? De nouveau appel à
l'organisation. Je leur ai demandé de contacter le gars si possible pour lui
indiquer qu'il se trompe de numéro. Ils m'ont répondu ‘’no problemo’’. Demain
je suis sûr que le gars va rouler avec mon vélo et la trifonction du club ☹☹☹"
Jour J - Heure H :
Le grand jour est ENFIN arrivé
pour Mickaël. Après 2 ans de préparation et 1 an de retard (foutu COVID), il va
ENFIN pouvoir prendre le départ de son tout premier triathlon XXL sous le label
IRONMAN sur les terres ibériques ! Barcelone sera le théâtre de cette
aventure hors norme. Crise sanitaire oblige, l’organisation a regroupé les
concurrents de l’Half et du Full sur la même journée, soit plus de 7000
triathlètes prêts à en découdre, de quoi rendre nerveux n’importe quel Ironman
en devenir !
Le programme est réputé copieux,
mais Micka a fait le nécessaire pour enchaîner les 3 séquences sans faiblir 😊.
3800mde natation, la partie qui
génère peut-être le plus d’incertitude chez notre représentant. Pourtant la
progression aquatique de Micka, ces deux dernières années, est réelle et ses temps
de passage ne devraient pas lui laisser un goût trop a-mer… en revanche pour le
côté salé, il va être servi ! ^^ Les éléments sont déchainés. Le vent a
fait grossir la houle. Les vagues sont aussi hautes que la motivation des hommes
grenouilles, aux abois sur la plage de Calella. Chacun piaffe d’impatience. A
la fois heureux de pouvoir se jeter au milieu des flots et angoissé à l’idée de
se faire chahuter par les vagues. C’est que l’organisation a opté pour le
maintient de l’épreuve nautique et ce malgré les conditions peu favorables à la
nage en eau libre. Le parcours est raccourci et les concurrents sont envoyés à
la baille par vagues successives sur un parcours de 600m. Sur le bord, en marge
de la compétition, Virginie a déjà le mal de mer. Inquiète et nerveuse, l’angoisse
lui retourne l’estomac. Difficile de laisser partir son conjoint dans cette douce
folie… Mais Micka n’a plus le temps d’y penser ! A son tour de s’élancer
et de déclencher le chrono. C’est avec prudence que Micka s’avance dans l’écume,
évitant de subir le même sort que les participants ayant perdu leur combat face
aux shore-break, ces déferlantes qui repoussent les nageurs sur le sable. 2 énormes
murs d’eau sont ainsi évités. L’horizon se dégage enfin, Micka plonge dans son
IM… Les premières coulées donnent le ton : la nautique va être éprouvante.
Micka est tout simplement au milieu de la salière qui se fait secouer : de
quoi assaisonner une épreuve déjà bien corsée ! Non seulement le courant
ne facilite pas la progression vers le large mais la dérive est telle que Micka
doit s’employer à replonger dans ses connaissances mathématiques en déterminant
la meilleure fonction polynomiale de degré 2 du type y(t) = ax²+bx+c lui permettant
de suivre la trajectoire idéale vers la première bouée, celle qui lui garantira
de conserver un maximum d’écailles ! Et il faut croire que les équations n’ont
aucun secret pour notre représentant qui aurait pu décrocher la médaille Fields
ce jour là ! Une orientation au plus juste et après une lutte acharnée à l’aller,
une séance de body surfing sur le retour. Plaisant et reposant, de quoi
reprendre son souffle avant de s’extraire de cette énorme baignoire agitée et
poursuivre l’aventure.
La T1 ? interminable ! Avec
7000 participants toutes épreuves confondues, le parc est énorme et la distance
de transition pas anodine. Heureusement, impossible pour Micka de se perdre au
milieu de ce dédale, son emplacement vélo est approximativement au niveau du
rond central du terrain de foot réquisitionné pour l’occasion. Et c’est casque
sur la tête, selle en main et cales aux pieds (interdiction de laisser les
chaussures sur les pédales ☹) que Micka quitte le parc…
180kmsd’asphalte l’attendent.
Pour les parcourir, il ne pourra compter que sur la mécanique de son Giant, sur
la fraicheur de ses jambes et sur sa capacité à lisser son effort tout au long
de la journée. Sur les 3 premiers kilomètres, interdiction d’adopter la
position aéro. La densité de coureurs et l’étroitesse des rues ne permettant
pas d’évoluer en toute sécurité. Il en sera de même sur le retour, une aubaine
pour les aspirant IM, de préparer calmement la transition Vélo à Course à pied en
prenant le temps de s’alimenter, de s’hydrater et de retrouver un peu de
vélocité. Entre deux, il reste 174kms à se farcir. Le vent est bien présent et
le parcours devient vite casse patte. La vigilance est de mise. Les bornes effectuées
durant sa préparation ont permis à Micka d’assurer le jour J et hormis 2
petites alertes ‘’crampes’’, rien à signaler. Pas de défection, pas de casse et/ou
de panne matériel et pour couronner le tout, un rythme très satisfaisant. Et a
contrario des athlètes sanctionnés pour drafting avéré (les mecs roulaient
carrément en peloton), c’est seul et conformément aux règles du triathlon
moderne que Mickaël pose son vélo, frais et dispo pour attaquer son marathon. De
quoi savourer ces 2 premiers tiers d’épreuve.
42.195kms, c’est ce qu’il reste à
Micka avant de voir l’arche d’arrivée. Cela fait déjà près de 6h30 de course…
Virginie, assure la prestation photo ; Jérôme P. quant à lui, traque Micka
et son évolution au fil des kilomètres et communique les temps de passage au
reste du collectif, attentif aux données affichées. Et pendant que tout ce
petit monde, confortablement installé dans les canapés, devant Paris-Roubaix, y’en
a un qui ne lâche rien et qui poursuit son épopée en longeant la côte
barcelonaise sous un soleil de plomb. 28°C. Il fait chaud. Micka régule son
allure et reste prudent, le premier semi ayant été un véritable casse-tête pour
maitriser son hydratation. Derrière la cloche, Virginie l’encourage et veille
au grain. Tout va bien et Micka enclenche sur le 2eme semi-marathon avec en
ligne de mire un SUB 10h…
Une sacrée performance quoiqu’il
arrive, et ce, même si la distance nautique est en deçà du défi initial. Bien
évidemment, difficile d’occulter ce point, mais malgré tout, Micka reste
mobilisé… Un dernier virage, la moquette rouge floquée du logo IM, la double tribune
qui acclame les triathlètes longue distance encore à quelques encablures de cette
finisline ; le speaker qui prononce la phrase que chaque postulant
souhaite se voir attribuer ‘’YOU ARE AN IRONMAN’’ : pour Micka c’est la
dernière ligne droite. Dans quelques secondes c’est lui, le Triatomic’s du
TRIATHLON CLUB Montigny-en-Gohelle qui franchira cette arche, fatigué
probablement, un peu frustré certainement, mais tout de même heureux d’avoir
été au bout de son projet et d’avoir réussi à boucler le parcours en 9h57’33’’ !
Savoures Micka ! C’est la
juste récompense de ton abnégation à l’entrainement. Le 3 octobre 2021, tu es
devenu un Ironman, devenant par la même occasion le super héros des Triatomic’s,
reléguant loin derrière Robert Downey Junior et Tony Stark.
Jour J - Heure h+2 via messenger
"Bonjour
à toutes et à tous.
Tout
d'abord un grand merci pour vos encouragements je les ai eues par la pensée. Le
réseau de la pensée passe mieux que la 4g. La journée a été riche en émotions.
Mer
déchaînée, du coup nautique raccourcie : 600 mètres. Avec une dérive de
malade. Merci Ka pour l'expérience du swim run de Berck cela m'a été utile en
visant la première bouée 50 mètres sur la droite.
Le
vélo. Le premier tour j'étais un peu trop joueur avec le 70.3 parti 40 minutes
avant nous plus nos participants. Le second tour était un peu plus géré avec
des crampes au 118e km et au 140e km. Je pose le vélo avec le sourire.
La
CAP démarre dans la gestion de l'effort mais devient très compliqué avec 5
arrêts pipi dans le premier 21. J'avais du mal à assimiler où je buvais trop.
Le second 21 les sensations revenaient mais je ne voulais pas m'emballer le but
était de finir debout.
En
faisant des petits calculs à 14 km de l'arrivée (1 tour) je me dis que je peux
passer sous la barre des 10 heures. Comme il n'est pas complet ça n'a pas de
valeur mais pour le fun je me suis dit ‘’pourquoi pas’’. Et quand j'ai
enclenché c'est passé à une vitesse de fou. Endorphine plus toutes vos pensées
positives ça m'a beaucoup aidé. Pendant la course on se dit ‘’plus jamais’’ et
sur le tapis rouge avec toutes les émotions qui ne sortent jamais chez moi je
me dis ‘’à quand le prochain ?’’. Bisous
Mickael
depuis ma baignoire dans un bain tiède (je ne suis pas fou non plus)"
C’est un jour qui restera a
jamais gravé dans les mémoires ! Car ce dimanche 3 octobre, qualifié de
dantesque par les journalistes sportifs lors de l’édition 2021 du Paris-Roubaix,
Djé et Delphine, nos 2 néo-Triatomic’s ont aussi affronté, à leur manière, ‘’l’Enfer
du Nord’’ lors de leur toute première expérience triathlétique sur le JUST TRI
de Rieulay.
Les conditions météo, pourtant
exécrables, n’ont pas fait le poids face à l’envie de découvrir le multi-enchaînement.
Le site des Argales, terrain d’entraînement pour les sessions d’eau libre,
avait ce petit côté rassurant pour nos 2 néophytes. Avec les copains du T.O.P
(Triathlon Orchies Pévèle), l’ambiance était fraîche, certes, mais détendue :
idéal pour faire redescendre le niveau de stress.
Le discours du coach était bien rôdé.
Le JUST TRI c’est juste du tri… avec un seul objectif : se faire plaisir. Pour
accompagner Djé et Delphine sur ce sprint, Manu et Karine seront là en appui. L’idée
étant de faire progresser le quatuor comme s’il disputait un CLM par équipe.
Derrière les lentilles, Gepeto et
Pierrette, officieront en qualité de reporters photographes et assureront la
prestation ‘’shooting’’ de toute l’épreuve. Une belle complémentarité avec les ‘’gars
du coin’’, devenus les partenaires d’entraînement des Triatomic’s depuis la
mise en place des roulements pour assurer la surveillance des créneaux de nage
en eau libre.
Sur le plan sportif, le parc à
vélo, ses codes, les petites astuces, les règles de montée/descente de vélo,
tout est passé au crible. Ensuite il y a les préparatifs avant la mise à l’eau…
Et aujourd’hui, pour le coup, c’est une étape qu’il ne faut surtout pas
négliger sous peine de ne pas réussir à aligner les coups de bras et/ou à
ressortir en hypothermie. Bien qu’il ne fasse pas bien chaud, l’eau est
franchement froide et combi ou pas sur le dos le choc thermique est là en embuscade.
Il est 9h45, place au briefing sous
une pluie fine mais constante. L’organisation souhaite à la centaine de fous présents
une bonne course après avoir expliqué le parcours nautique et présenté les
modalités relatives aux 20kms de cyclisme et au 5kms de running.
Il est temps de partir se
rafraîchir les idées. Après quelques secondes d’immersion, le silence retenti.
On dirait un remake chti du naufrage du Titanic ! Les Triatomic’s sont
unanimes : c’est frisquet ! Mais the show must go on ! 10h, Le
coup de sifflet : c’est parti! Djé et Manu foncent têtes baissées… Des
guerriers ! Pour Karine et Delphine c’est beaucoup plus compliqué. La
sortie australienne est le premier jalon, attendu avec impatience pour s’extraire,
au moins quelques secondes, de cette séance de cryothérapie. Jusque là tout va
bien. Delphine subit un peu ces conditions extrêmes mais persévère. Manu est
dans la gestion tel un vieux briscard (il a validé ses galons de triathlètes
15j plus tôt sur le distance olympique des Lacs de l’eau d’heure). Djé n’a qu’une
idée en tête : sortir au plus vite de cette bassine d’eau froide et fait
une belle nautique. Pour Karine, une fois le corps à température pas de
difficulté majeure. Elle observe ses partenaires d’entrainement qui assurent :
contrôles visuels, passage de bouée, trajectoire, sur-battement ! ça bosse
et ça bosse bien 😊
Il est temps de sortir des flots
et d’enfourcher les vélos… après une i.n.t.e.r.m.i.n.a.b.l.e transition… A la
décharge des Triatomic’s, non seulement ce point-là n’a pas été travaillé à l’entraînement
mais en plus les extrémités sont gelées… bref, pas facile de s’équiper dans ces
conditions.
Une fois sur la route, les
hibiscus évoluent sur une chaussée détrempée et se feront rincer à plusieurs
reprises. L’allure est aussi soutenue que possible, l’idée étant de rester en
selle. Toutefois par temps sec, le circuit doit vraiment être rapide ! Ce
ne sera pas aujourd’hui que les records de vitesse seront battus… A ce stade de
la course, petit bilan des forces en présence :
- * Manu, qui n’arrive pas à se réchauffer, claque
des dents et frissonne mais donne le tempo
- * Djé se porte bien et fait des allers-retours en
tête et en queue de convoi
- * Delphine, profite de sa 3ème sortie
cyclo route pour apprendre à gérer ses braquets, tout en restant dans les roues
de ses coéquipiers
- * Karine, expérimente le funambulisme dans chaque
courbe et chaque virage, mais le reste du temps : ça va 😊
De retour au parc… transition
i.n.t.e.r.m.i.n.a.b.l.e bis… On ne change pas une équipe qui gagne ! 😊
Il reste alors 5kms de course à pied. Les 2 premiers kilomètres sont
nécessaires pour retrouver quelques sensations au niveau des pieds et des
orteils… La suite ? Le binôme masculin part en éclaireur et termine à fond
de cale, ouvrant la voie au binôme féminin resté en retrait sur un rythme de
sénatrices 😊.
La ligne est finalement franchie
sous le crépitement des flashs, les applaudissements et les trombes d’eau. Une
arrivée en fanfare, amplement méritée, qui vient saluer la belle performance de
Djé et de Delphine pour leur tout premier triathlon. Bravo à tous les deux !
Vous appartenez désormais officiellement à la grande famille des triathlètes😊 et après ce que vous avez vécu, plus rien ne doit vous faire douter! Il n'y aura pas pire comme conditions climatiques sur les prochaines épreuves!
Merci à Manu et Karine pour le ''parrainage'' et à Gepeto et Pierrette qui ont subit les affres du temps sous les parapluies, pour immortaliser ce baptème!
19 septembre 2021 : Les lacs de
l’eau d’heure voir les photos
enquête, interview et petites anecdotes crousitillantes en cours de recensement...
12 septembre 2021 : Joindre
l’utile à l’agréable lors du forum des activités voir les photos
Ce dimanche matin, le soleil est
au rendez-vous ! Une aubaine après la semaine pluvieuse qui a fait
craindre le pire pour les Triatomic’s bien décidé à assurer une permanence lors
du forum des activités.
Pour l’installation des 16m²
réservés au TRIATHLON CLUB Montigny-en-Gohelle, à la maitrise d’œuvre : le
président Jean-Pierre et sa dream team : Pierrette, Jean-Michel et Martine
… à la maitrise d’ouvrage : Karine, pour le plus grand désarroi des
sexagénaires ! 😊Jérôme P.et Micka viendront compléter le
tableau pour doter le stand de 2 espaces cyclo dont l’un sera connecté à la
plateforme swift.
A 10h, les Triatomic’s sont prêts !
Les portes du forum s’entrouvrent pour laisser libre court aux déambulations de
la population détentrice du précieux sésame, le sus nommé ‘’pass sanitaire’’ !
A tour de rôle, les adhérents vont
se relayer sur les vélos… une façon originale de présenter une spécificité de
notre discipline aux quelques curieux venus se renseigner sur les activités
proposées sur la commune de Montigny-en-Gohelle. Parmi les Triatomic’s, saluons la
performance de 3 d’entre eux (Micka, Manue et Jérôme P.) qui ont assuré à eux
seuls la plupart des kilomètres parcourus ce dimanche sur les HT. A ces
exploits individuels, il faudra rajouter la participation de Karine, Thomas,
Luka, Pierrette et Djé ainsi que la présence d’Amandine, qui firent une
apparition au cours de la journée pour tenir compagnie aux indéracinables :
Manue et Gepeto 😊 présents du début à la fin de l’évènement assurant
la promotion de la structure auprès des élus et des badauds.
Vers 17h00 : clap de fin. La
semaine se termine ainsi, sur quelques tours de roues… rendez-vous dans 2 ans
pour le prochain forum des activités.
Et de conclure avec un grand merci adressé aux adhérents qui se sont disponibilisés pour apporter leur pierre à l'édifice!
11
septembre 2021 : ... et de 3 pour Lamberto sur le Triathlon S de
l’Audomarois
Cela
fait maintenant 3 années que Lamberto s’aligne sur le triathlon S de
l’Audomarois, une occasion pour lui de jauger de sa progression dans sa
pratique du triple effort mais également de participer à une épreuve sportive
aux côtés de son ami d’enfance.
Pour
le cadre de l’épreuve : les abords de la commune de Arques et l’étang de
Malhove. Pour le profil et les distances à parcourir, il fallait compter 600m
de natation, 21km pour le circuit cyclo en aller-retour avec une côte à
mi-parcours et 5kms de cap principalement sur les berges de l’Etang.
Sur
la partie nautique, l’appréhension du milieu naturel, n’a pas permis à Lamberto
de poser sa nage… Qui plus est, la limite horaire a littéralement bloqué notre
nageur, qui n’a pas réussi à passer outre, ne crawlant qu’une centaine de mètre
sur les 600m possibles.
Le
week-end du 11 septembre, venteux, a rendu la portion route difficile à
négocier, les athlètes devant affronter les embruns sur le retour. Lamberto,
poussé à l’aller, avait des jambes de feu… au turning, c’est avec les jambes en
feu qu’il a dû composer 😊. Le vent de face sur le plat : une ‘’tuerie’’ ,
propos recueilli auprès de notre représentant, étonné d’avoir roulé plus vite
dans la bosse que dans la descente … d’autant qu’il a pu observer les effets du
‘’No drafting’’ induits par une sortie tardive des flots à contrario des
‘’pichons’’, alliés de circonstance qui ont su se regrouper pour former des
pelotons, avantage non négligeable au vu des conditions climatiques de
l’édition 2021. Parce que oui, le drafting permet de s’économiser sur le vélo
pour ensuite amorcer l’ultime épreuve cap dans les meilleures dispositions…
Lamberto, lui a enfiler ses baskets passablement émoussé…
Pour
autant, Lamberto a franchi la ligne, satisfait puisqu’il a une fois encore
amélioré sa marque, grignotant 2’ par rapport à l’édition précédente.
Avec
une saison moins perturbée que celle que nous venons de vivre, les apprentissages
pourront être réalisés dans de bonnes conditions (échauffement, transition,
position aéro, …) et les chronos devraient s’affoler…
4
septembre 2021 : Patricia ouvre la saison 2021-2022 des Triatomic’s sur le
format XS du Triathlon de Gravelines
Après
une semaine usante, cap au nord pour Patricia, qui a décidé de se détendre en accrochant
un 1er dossard en cette nouvelle saison, sur le triathlon XS de
Gravelines.
La chaleur
extérieure étant au beau fixe, c’est sans combi que notre représentante se jette
dans le Paarc dans rives de l’Aa. Saisie par la fraicheur de l’eau, après 3
mouvements de crawl, Patricia est ‘’Oxy’’… s’en suit 400m interminables où le
plaisir n’est pas au rendez-vous et ou l’angoisse s’installe. C’est un point à
travailler et les séances d’eau libre devront être multipliées à l’été prochain
pour effacer toutes ces difficultés. Patricia le sait et est d’ores et déjà prête
à relever les défis à venir en apprenant de ses ‘’erreurs’’.
Heureusement, une
fois sur la terre ferme, le triathlon prend une autre tournure ! Une
allure soutenue à vélo la remet en selle. Les 10kms ne sont qu’une formalité
pour propulser notre représentante dans les meilleures dispositions pour boucler
les 2500m de la portion running. Du plaisir et de bonnes sensations donc pour
notre féminine adeptes des sorties longues en compagnie de ses baskets !
Patricia a montré le chemin... aux Triatomic's de prendre part aux festivités à venir :)